Région de Maghnia | Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia |
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| Posté le : 23/05/2005 à 01:51 (Lu 5756 fois) | | |
Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia
Une semaine de réhabilitation
Les lumières se sont éteintes à Maghnia, avant-hier aux environs de 3 heures du matin. La salle omnisports, pleine comme un œuf, résonnait sous les mélodies de Abdelkader Chaou et de cheb Djelloul.
C’était les dernières intonations d’un jubilé qui aura réuni des milliers d’invités de marque du monde arabe, d’Afrique, d’Europe et d’Amérique Latine. Les représentants des 48 wilayas étaient de la fête aussi. Avant-hier, journée de clôture au stade des frères Nouali, rehaussée par Abdelaziz Belkhadem, représentant le président de la République, de Saïd Barkat et d’autres sommités, la cérémonie était telle qu’elle n’avait rien à envier aux grandes manifestations internationales. Pas moins de 50 troupes folkloriques du territoire national ont défilé devant plus de 20 000 personnes. Des équipes de football maghrébines, comme le WA Casablanca et le CA Bizerte, ont égayé l’atmosphère en donnant la réplique au WA Tlemcen et à l’IRB Maghnia. Les moments étaient émouvants et les larmes étaient de joie. L’heure n’est pas celle des bilans. Faudrait-il d’ailleurs faire un bilan ? Cette semaine culturelle, scientifique et sportive était celle de la reconnaissance, de la réhabilitation et du pardon. En l’espace d’une semaine, Maghnia était la capitale du monde. La Qibla de la réconciliation...
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [197] |
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| Posté le : 13/07/2005 à 11:16 (Lu 5740 fois) | | |
http://maghnia.online.fr/musique.htm 
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| normes commerciales [642] |
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| Posté le : 13/09/2005 à 11:54 (Lu 5713 fois) | | |
Face au non-respect des normes commerciales
et sanitaires .Les risques alimentaires s’accentuent
durant l’été
Par Samira Imadalou
En plus du danger des produits contrefaits, les consommateurs sont exposés en cette période caniculaire à d’autres risques liés au non-respect des normes commerciales et sanitaires des produits de large consommation. Des produits exposés à la vente dans de très mauvaises conditions. La bonne conservation des produits laitiers et leurs dérivés, les viandes, les œufs et les autres aliments périssables fait cruellement défaut dans nos marchés. Ce qui risque d’engendrer des intoxications alimentaires dont la prise en charge coûte très cher à l’Etat. Le ministère du Commerce a mis en place au début de ce mois un programme spécial doté de 2 milliards de dinars pour la prévention des risques alimentaires durant l’été notamment à travers la modernisation de l’outil de contrôle (acquisition d’un matériel moderne pour contrôler les aliments au niveau des usines et des frontières) et la création d’une agence nationale d’évaluation du risque alimentaire. Une campagne de sensibilisation sur les risques des maladies liées à la saison estivale a également été lancée au cours de ce mois par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour prévenir la santé des citoyens des maladies liées particulièrement à la saison estivale. Mais la multiplication des programmes par les différents secteurs ne suffit pas. Sans l’implication directe des citoyens par le biais du mouvement associatif, les résultats seront maigres. Car la protection du consommateur et de sa santé requiert une vigilance accrue de toutes les parties et particulièrement du consommateur lui-même. Il faudrait une prise de conscience chez l’ensemble des acteurs commerciaux : les producteurs, les vendeurs, les consommateurs et les services chargés du contrôle de la qualité surtout avec l’introduction sur le marché national de produits alimentaires d’origines diverses ne répondant pas aux critères de conformité et de qualité requis. Une situation due essentiellement à la libéralisation du commerce extérieur où une multitude de nouveaux opérateurs privés ont investi le créneau de l’importation. Un créneau qui alimente dans la majorité des cas le marché informel à travers lequel les commerçants proposent aux consommateurs des produits parfois périssables. «Les produits ont été bloqués au port pendant plusieurs jours. La date de péremption approche. Donc, l’importateur les a écoulés sur le marché noir pour ne pas enregistrer de grandes pertes. C’est pour cela que nous les proposons aux citoyens à des prix bas», explique un jeune revendeur de biscuits (importés) rencontré à Meissonnier. Le fait de proposer ces produits à la vente dans de mauvaises conditions d’hygiène (exposés sur des cartons sous un soleil de plomb) n’a pas empêché les citoyens de les acheter. Les prix appliqués font parfois oublier aux consommateurs les risques encourus. D’où la nécessité d’intensifier la sensibilisation dont le rôle revient aux autorités et aux associations de protection des consommateurs. Des associations malheureusement absentes sur le terrain.
S. I.
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [664] |
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| Posté le : 14/09/2005 à 12:43 (Lu 5707 fois) | | |
c vraiment assez favheux de ne truover pas grand chose sur MAGHNIA
principale ville de la wilaya de tlemcen
je sais qu'il ya un forum maghnia
mais c pas la raison suffisante
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [666] |
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| Posté le : 14/09/2005 à 14:28 (Lu 5705 fois) | | |
Citation : Tiliwine
c vraiment assez favheux de ne truover pas grand chose sur MAGHNIA
principale ville de la wilaya de tlemcen
je sais qu'il ya un forum maghnia
mais c pas la raison suffisante |
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tout à fait d'accord avec tiliwine, en fait si nos compatriotes veulent bien se décarcasser on pourrait faire de belles choses sur maghnia mais la plupart misent surtout sur des sites busness ou bricolage.C'est dommage.
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [750] |
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| Posté le : 21/09/2005 à 09:54 (Lu 5695 fois) | | |
Une chaire porte désormais son nom
L’université rend hommage à Ben Bella
Insigne hommage de l’université à Ahmed Ben Bella: une Chaire universitaire internationale porte désormais son nom. Celle-ci augure des travaux de recherches importants dans le domaine du développement durable, entre autres.
En effet, la Chaire internationale «Ahmed Ben Bella pour le développement durable» a été instituée, lundi, à l’université de Mostaganem, lors d’une cérémonie à laquelle ont participé, aux côtés de l’ancien Président de la République, le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, M. Tayeb Louh, ainsi que le délégué à la relance économique et l’ambassadeur du Sénégal à Alger. Plusieurs autres personnalités connues pour leurs travaux sur les thèmes de la mondialisation, l’environnement et le développement, dont Mme Aminata Traoré, ancienne ministre de la Culture du Mali, des professeurs d’université ont assisté à la cérémonie.
Intervenant après la présentation de la chaire qui porte son nom, M. Ben Bella a estimé que le développement durable est «une longue lutte pour contrecarrer et prouver que le système de concurrence et de compétition est imposé au reste de la planète». «L’Algérie, a-t-il observé, n’a pas attendu la tenue du sommet de la terre en 1992 et ses recommandations pour replanter des arbres», soulignant le rapport étroit existant entre ces derniers et l’homme, qualifiant «la déforestation de l’Amazonie et d’autres forêts de grave menace sur l’environnement, accentuant les désastres planétaires et menaçant les équilibres mondiaux».
Evoquant la valorisation des ressources humaines que suppose tout développement durable, M. Ben Bella a remarqué que «l’homme au lendemain de 1992 constitue l’indice essentiel de richesse pour toute nation, alors qu’il était représenté auparavant par son PIB».
Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, pour sa part, a retenu que l’événement «est à inscrire au fronton de la continuité des générations». «Les forêts vertes que nous admirons en Algérie, d’Ouest en Est, sont l’oeuvre du président Ben Bella et nul doute que la Charte pour la paix et la réconciliation nationale augure une Algérie encore plus verte dans la stabilité et l’essor de son économie», a affirmé le ministre.
Pour sa part, le délégué à la relance économique, M. Abdelkader Khelil, a fait un plaidoyer de la symbiose devant régir les rapports entre l’homme et son milieu, soulignant «la nécessité de préserver les équilibres écologiques pour assurer la durabilité de la croissance économique». Evoquant le référendum du 29 septembre et des effets attendus en terme de développement durable, M. Khelil a précisé que «l’Etat ne saurait évoluer en marge des pays prospères qui ont fait du travail la vraie et unique source de leur richesse».
Le professeur Ghanem Selselat, de l’université de Mostaganem, a présenté la chaire internationale, précisant que cet espace d’enseignement supérieur et de recherche est doté d’une direction et d’un conseil scientifique au sein duquel siègent des professeurs universitaires de renom nationaux et étrangers, tel M. Jean Ziegler de Genève, rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation.
La Chaire compte plusieurs partenaires nationaux tels les entreprises Sonelgaz, Naftal et Sonatrach, avec lesquelles elle se propose de développer des actions de recherche et de formation mutuellement profitables. La première activité à laquelle doit s’atteler la chaire est le lancement de formation post-graduelle spécialisée dans l’ingénierie de l’environnement et le développement durable. Plusieurs membres de son conseil scientifique ont tenu à commenter «sa naissance», à l’image du chercheur Abdelkader Djelfat, de l’université de Lille, qui a tenu à souligner que «le développement durable donnait désormais aux animateurs de la Chaire les moyens d’accès à la connaissance mondialisée».
Dans le message qu’il a adressé, pour sa part, aux participants, le professeur Jean Ziegler a affirmé que «l’Algérie, en instituant cette Chaire, ouvre la voie à d’autres initiatives», avant d’exprimer «sa solidarité et sa pleine adhésion aux actions qui seront impulsées par le conseil scientifique».
Il est à signaler que la cérémonie a été marquée, peu avant sa clôture, par la présence de M. Abdelaziz Belkhadem, ministre d’Etat, représentant personnel du Président de la République, qui a tenu à souhaiter plein succès à cette Chaire internationale instituée par l’université, «instrument de rayonnement de la société».
D’autre part, les «défis de la paix et du développement durable» ont été débattus lundi à l’université de Mostaganem, lors de la table ronde animée par des personnalités universitaires algériennes et étrangères, dans le sillage de la cérémonie d’institution de la Chaire «Ahmed Ben Bella pour le développement durable», en présence de l’ancien Président de la République et de représentants du gouvernement. Plusieurs communications ont été animées par d’éminents chercheurs d’universités algériennes et étrangères.
R. N.
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [757] |
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| Posté le : 21/09/2005 à 12:21 (Lu 5693 fois) | | |
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| transports et ransparence Maghnia [893] |
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| Posté le : 12/10/2005 à 07:58 (Lu 5692 fois) | | |
Le ministère des Finances décide de nouvelles dispositions
Les grossistes de Maghnia en grève
Suite à l’actualisation de la liste des marchandises qui seront soumises à autorisation de circuler (passavant) fixée par arrêté du ministère des Finances pour lutter contre les fausses déclarations au fisc et la contrebande, les commerçants grossistes de Maghnia, mécontents de cette nouvelle disposition, ont entamé, hier mardi, une grève qu’ils disent illimitée.
Toutes les marchandises citées dans l’arrêté doivent être déclarées à une brigade mixte laquelle contrôle la marchandise à priori et délivre au déclarant une autorisation de circuler dans la zone du rayon des douanes.
Pour cela un poste qui remplacera celui de Hammam Boughrara est en cours de réalisation au lieu-dit «35» sur l’axe Maghnia-Oran à quelque 35 km de Maghnia, lequel abritera la brigade mixte composée d’éléments de la direction du Commerce, des Impôts et de la Douane. Sa mission consiste à procéder un contrôle systématique de toutes les marchandises qui sont acheminées vers l’extrême Ouest. «Il était temps», dira un élément de la direction des Impôts qui explique que, sauf cas très particulier, les plus honnêtes des grossistes déclarent annuellement 300 millions de centimes seulement au fisc, une somme modique par rapport à la marchandise qui circule, avant de nous étaler une facture de 400 millions de centimes qui appartient à un déclarant. L’objectif principal pour nous, dira cet agent, est de connaître les réels chiffres d’affaires pour une réelle imposition. Pour le douanier, cette disposition permet d’atténuer du commerce illégal, et ce, par le contrôle des marchandises qui se trouvent dans la zone de douane. Pour illustrer, le douanier nous présente le bilan de journées des 9 et 10 octobre qui en dit long sur la marchandise qui pourrait passer de l’autre côté de la frontière. Ainsi parmi les 36 passes-avant délivrés lors de la journée du lundi, 9 ont été accordés à des grossistes de farine (200 qx chacun) et de dattes (2 x 55 qx), d’une petite commune située à la frontière alors que lors de la journée du mardi, 11 grossistes sur les 30 commerçants auxquels un passe-avant a été délivré pour les mêmes produits déjà cités sont domiciliés dans ce même village!!
Pour les éléments de la direction du Commerce, le préjudice est clair et apparent et cette disposition qui force les commerçants à s’identifier et à identifier leurs locaux pour le contrôle à posteriori, aide énormément à atténuer du trafic transfrontalier illégal et à mettre un terme à la saignée économique qui paraît considérable. Consciente du préjudice que peut engendrer ce genre de trafic, la direction du Commerce a, en coordination avec les services des Impôts, des Douanes et du Centre local du registre du commerce, élaboré une carte commerciale à partir de laquelle elle a pu toucher de près l’importance du dommage.
Celle-ci a été interpellée par la forte concentration de commerces de gros, le long de la frontière. L’enquête révèle également que les locaux déclarés sur le registre de commerce sont constamment fermés et que l’examen des dossiers fiscaux fait ressortir l’absence totale de déclaration en matière fiscale. Ainsi, il a été relevé dans cette petite commune frontalière 26 grossistes pour 44 commerçants détaillants en alimentation générale et que 5 parmi eux ont bénéficié à eux seuls, au titre d’une année d’exercice, d’une quantité de 169.879,25 quintaux de farine et de dattes, représentant une valeur globale de 35 milliards de centimes. Les grossistes de Maghnia qui espèrent avec leur grève mobiliser les commerçants détaillants et donc la population, tentent de convaincre, à l’aide d’arguments qu’ils considèrent percutants. Aussi, ils avancent le refus des grossistes oranais ou algérois de leur fournir les factures exigées pour la délivrance du passe-avant, préférant vendre leurs marchandises aux commerçants de Tlemcen ou Remchi lesquels n’exigent pas de factures. Ceci crée ainsi, estiment-ils, deux pôles de prix, obligeant les consommateurs à acquérir ailleurs leurs produits notamment l’électroménager qui y est forcément moins cher car les commerçants n’y sont pas, selon eux, réellement imposés.
Aussi les grossistes se demandent pourquoi pénaliser avec ces nouvelles dispositions toute la commune de Maghnia qui est bien loin de la frontière et ne pas exiger le passe-avant plutôt à sa sortie du lieu-dit «5», épargnant ainsi à la population des mauvaises répercussions et demandent, par ailleurs, que des contrôles rigoureux soient menés par le fisc afin de redresser une situation qu’ils disent gangrenée par toutes sortes de maux. Au sein de la population, les nouvelles dispositions semblent bien reçues, voire appréciées. «Nous savons bien qui si cette grève continue, nous allons subir des contraintes financières mais nous sommes prêts à sacrifier et supporter ces contraintes pour que ces nouvelles dispositions soient effectives, maintenues et appliquées», dira un fonctionnaire avant d’ajouter «maintenant nous ne serons pas les seuls (fonctionnaires) à payer les impôts!»
Cheikh Guetbi
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [1238] |
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| Posté le : 14/12/2005 à 22:12 (Lu 5679 fois) | | |
bonsoir
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [1239] |
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| Posté le : 14/12/2005 à 22:18 (Lu 5678 fois) | | |
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [1870] |
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| Posté le : 04/07/2006 à 16:22 (Lu 5595 fois) | | |
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| Re: Jubilé Ahmed Ben Bella à Maghnia [3236] |
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| Posté le : 05/01/2008 à 13:15 (Lu 5361 fois) | | |
Bonjour,
Je suis toujours heureux de découvrir un site sur ma wilaya, particulièrement ma ville Maghnia. cependant, j'ai une remarque à vous faire: l'article sur le jubilé de Ben Bella repris sur ce site, est celui d'El Watan (auteur Chahreddine Berriah)
Il fallait le préciser, c'est une question de déontologie.
Merci et bonne continuation.
Chahreddine B
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