Région de Ghazaouet Nedroma | Ligne maritime Ghazaouet-Almeria |
|
| Posté le : 27/06/2005 à 14:16 (Lu 5899 fois) | | |
Commentaire : nouvelle mesure de facilitation douanière
Une nouvelle mesure de facilitation douanière, destinée aux voyageurs de la ligne maritime Ghazaouet-Almeria, entrera en vigueur, mardi prochain, a-t-on appris auprès de l'inspection divisionnaire des douanes de Ghazaouet. Cette mesure, objet d'une convention le 9 juin dernier en cours entre la direction régionale des douanes de Tlemcen, le ministère des transports et la société Bentras Algérie (représentant de la compagnie espagnole trans-méditerranéenne en Algérie) assurant cette ligne, porte sur l'obtention, par les voyageurs, du titre de passage des douanes (TPD), à bord même du car-ferry, précise-t-on. “Dès l'embarquement à Ghazaouet ou à Almeria, les agents des douanes, pris en charge à bord, entameront leurs missions d'inspection et de contrôle des voyageurs et des véhicules pour la délivrance de ce document de passage. À la gare maritime de Ghazaouet, seuls des contrôles routiniers seront effectués”, souligne-t-on, avant d'indiquer qu'un gain de temps appréciable résultera de l'application de ces mesures. “Le traitement des passagers, à Ghazaouet, passera ainsi de 3 heures à une demi-heure”. Cette mesure de facilitation coïncidera avec le passage des rotations de cette ligne maritime de transport de voyageurs, ouverte le 19 mars 2003, de deux fois par semaine, à des rotations quotidiennes pour faire face à la forte demande de la communauté algérienne résidant à l'étranger. 63 717 passagers et 19 213 véhicules ont été transportés durant l'année 2004, rappelle-t-on enfin à la société Bentras Algérie.
-------------------------------------------------------------------------------------
Même si la réduction est effective: une demi-heure pour des mamans avec bébé, personnes agées ou malades..etc est un délai non raisonnable...La fluidité et l'efficaicité d'une bonne circulation des personnes (libres) est neccessaire surtout si les conditions d'accueil sont sommaires (hygiène et sécurité..). L'archaisme et le formalisme bureaucratique stérile, ne garantit en rien la sécurité civile nationale de notre pays.
L'Europe instaure des passeports biométriques ,cependant la surenchère continuera pour des résultats jamais satisfaisants.
Jusqu'ou le voyageur doit -il supporter ce parcours du combattant pour rentrer chez lui : dans son pays?
| |
|
|
| Re: Ligne maritime Ghazaouet-Almeria [140] |
|
| Posté le : 29/06/2005 à 13:57 (Lu 5893 fois) | | |
Sécurité aéroportuaire
Le passeport bio-métrique avant 2010
Le passeport algérien doit intégrer les empreintes digitales de son possesseur avant l’an 2010. Il en sera de même pour la rentrée en vigueur de l’enregistrement des données prises sur l’image scanner de l’Iris (membrane interne de l’½il.)
Telles sont, entre autres, les exigences fixées par l’organisation internationale de l’aviation civile, (OIAC), pour tous les pays contractants afin de se conformer aux normes de sécurité dans le domaine de la navigation aérienne. C’est ce qu’a révélé (...)
| |
|
|
| Re: Ligne maritime Ghazaouet-Almeria [151] |
|
| Posté le : 01/07/2005 à 13:01 (Lu 5890 fois) | | |
Reponse en septembre au retour des vacanciers on fera une enquete avec des stats pour quantifier ces nouvelles mesures
| |
|
|
| Bibliographie de Nédroma [196] |
|
| Posté le : 13/07/2005 à 11:12 (Lu 5880 fois) | | |
Bibliographie de Nédroma
BASSET, René. Nédromah et les Traras. Paris, Leroux, 1901, 240 pages
Canal, Joseph, Monographie de l'arrondissement de Tlemcen. NEDROMA et les Traras.1886, 1887, 1888, 1889, 1890, 1891,1892.
( bulletin de la Société D'Archéologie et de Géographie d'Oran, tome : VI,VII,VIII,IX,X,XI,XII ).
Azan, Paul, Sidi-Brahim. Paris, Lavauzelle, 1930.
Bel, Alfred, Nédroma, métropole musulmane des tara. Alger, 1934 (Bulletin de la Société de Géographie d'Alger et de l'Afrique du Nord, N°:140).
Bel, Alfred, NEDROMA.
Bel, Alfred, Le Travail de la laine à Tlemcen. (Nédroma), 1913.
Boutemène, Yahia, La Zaouïa des Ouled Sidi Benamar prés de Nédroma. Tlemcen, La Koutoubia, 1950.
Mohammed Bénamar, Djebbari, La vie culturelle Religieuse et politique à Nédroma a la fin de la période coloniale (1918-1954). Conférence, à Nédroma 1987.
Géniaux, Charles, Nédroma. Revue des Deux- Mondes, 1° février 1922.
Grand guillaume, Gilbert, Un aspect du bilinguisme à Nédroma (Algérie). Revue Tunisienne des Sciences Sociales, N°:26 (sept. 1971), p. 163-175.
Grand guillaume, Gilbert, L'évolution des contacts culturels dans une Médina de l'ouest Algérien : Nédroma .Actes du premier congrès des cultures Méditerranéennes d'influence Arabo-Berbère
SNED, Alger 1970, pages 445 à 452.
Grand guillaume, Gilbert, Nédroma. L'évolution d'une médina. Doctorat 3° cycle sous la direction de Jacques Berque. 1970 Paris.
Janier, Emile, Industries indigènes de la région des Traras. Revue Africaine, 1944, pages 13 à 16.
Janier, Emile, Nemours et sa région. Société de géographie et d'archéologie de la province d'Oran, Bulletin Trimestriel, 3 t + 4 t 1949/1950.
Marçais, Georges, La chaire de la grande mosquée de Nédroma. In Cinquantenaire de la Faculté des Lettres d'Alger. Revue Africaine, 1932, p.321-331.
Prenant-Thumelin, Marie-Anne, Nédroma 1954. Alger, Annales Algériennes de Géographie, N°: 4, 1967, p.21 - 64.
Rachid, Bourouiba, Les inscriptions commémoratives des mosquées en Algérie. Thèse 3° cycle, Publications de la Bibliothèque Nationale. Alger, SNED 1979.
Rachid, Bourouiba, L'Architecture Militaire de l'Algérie Médiévale. Alger, SNED 1683.
Djilali, Sari, Les villes précoloniales de l'Algérie Occidentale.Nédroma, Mazouna, Kalàa. Alger. SNED 1960 .
Agha Si Hamza Ben Rahal, Histoire de Nédroma. (Traduite par son fils Si M'Hamed Ben Rahal en 1857).
Abdelouaheb, Serdoun, Nédroma: Les mutations récentes d'une ville précoloniale de l'extrême nord ouest Algérien. Mémoire de fin d'études 1981/1982.
Noreddine, Malki, Nédroma et sa région Au XVI Siècle (16 ème) conférence, à Nédroma 1987.
Denis, Grandet, Architecture et urbanisme Islamiques. 1988.
Actes de la table ronde organisée par le CRIDSH en Décembre 1983. Sur NEDROMA.
Abdelkader, Djeghloul, Huit études sur L'Algérie. Alger, SNED, 1986.
Anissa, Barkat (née Derrar), Guerre de libération Nationale (région Nédroma) 1977.
27) A .Barbin, Directeur d'école, Lalla Maghnia.
Mohammed, Ben Rahal, (de Nédroma) Contribution au recueil des Monnaies (Almohades), Bulletin de la S.G.A. Oran tome VIII 1888, pages 241.
Mohammed, Ben Rahal, (de Nédroma) A travers des Béni Snassen. Oran 1889.
Le sous-Filaoucen Revue scolaire mensuelle, n°:04, première année Ecole de Garçons, Nédroma ,1949.
Azzeddine Midoun, Nédroma: Résumé Chronologique. Nédroma, 1987.
Amar Dhina, Grandes Figures de L'ISLAM: Abd Al mumin Ibn Ali Le plus grand Qalife Maghrébin. 1986.
Claude Maurice Robert, Nédroma Berceau de l'Empire Almohade.
Anciens plans de la ville de Nédroma (Ancienne Ville), 16 novembre 1883, 8 avril 1888, 1890,…
http://membres.lycos.fr/mouhidia/Bibliographie/bibliographie1.htm
 http://membres.lycos.fr/mouhidia/
| |
|
|
| Re: infrastructure Nédroma [219] |
|
| Posté le : 15/07/2005 à 11:36 (Lu 5875 fois) | | |
Tlemcen
La ville de Nedroma se dote d’une unité médico-chirurgicale
Le secteur de la santé au niveau de la commune de Nedroma vient d’être renforcé par une structure stratégique qui aura à combler le déficit chronique que connaît cette partie de la wilaya.
En effet, une unité d’urgence médico-chirurgicale vient d’être achevée pour un montant global de 26 milliards de centimes.
Lundi dernier, le wali de Tlemcen, Abdelouheb Nouri, accompagné de cadres de son exécutif, a eu l’occasion de visiter ce fleuron des secteurs et qui se distingue par une architecture et des équipements sophistiqués.
A ce sujet, cette UMC comprend un service de chirurgie de 16 lits, un autre de maternité de 14 lits, 3 blocs opératoires, une salle de réanimation, une salle de radiologie, un labo, quatre lits d’observation, deux box de consultation et une salle de pansement et de plâtre. Côté équipements, cette structure dispose de moyens appropriés pour répondre aux besoins d’une région confrontée à un déficit en matière de santé.
Au cours de cette visite, le premier responsable de la wilaya a eu l’occasion de visiter d’autres structures administratives et sociales qui ont été achevées notamment une agence postale et le nouveau siège de la daïra qui a été réalisé dans une architecture islamo-mauresque.
Le programme de logements sociaux situés au nord de la commune qui a été achevé a soulevé des réserves du wali et qui sont liées à des aspects techniques de conception, de ces équipements publics en insistant toutefois sur l’aspect de l’amélioration et l’embellissement du cadre de ces habitations afin de se départir du décor triste et agressif qui les singularise
Sofiane Z.
| |
|
|
| Re: Ligne maritime Ghazaouet-Almeria [235] |
|
| Posté le : 21/07/2005 à 19:29 (Lu 5868 fois) | | |
franchement je felicite les algerien et surtout les douanier de ghazaouet pour leur acceuil qui est vraiment agreable merci bien
| |
|
|
| Re: Ligne maritime Ghazaouet-Almeria [236] |
|
| Posté le : 21/07/2005 à 20:43 (Lu 5865 fois) | | |
Citation
franchement je felicite les algerien et surtout les douanier de ghazaouet pour leur acceuil qui est vraiment agreable merci bien |
|
pourvu que ça dure 
| |
|
|
| Re: Ligne maritime Ghazaouet-Almeria [639] |
|
| Posté le : 13/09/2005 à 11:36 (Lu 5821 fois) | | |
Alimentation en eau potable
Des projets à la mesure des besoins nationaux
L’approche adoptée par le ministère vise à apporter des solutions inter-régionales.
Lundi 27 Juin 2005
Par Ziad Abdelhadi
Les ambitieux projets de transferts hydriques et de réalisation de barrages initiés par le gouvernement ont valeur de véritable défi dont l’objectif final est d’assurer de l’eau à toutes les populations.
Autant de chantiers d’une envergure exceptionnelle qui hissent l’Algérie au rang de plus grand pays au monde dans le domaine des travaux hydrauliques.
Les milliards de dinars que consacre le plan de relance économique au secteur de l’hydraulique démontrent bien que les pouvoirs publics lui accordent une priorité tant les besoins en eau potable sont de plus en plus importants et qu’en parallèle, les eaux conventionnelles, c’est-à-dire de pluie, accusent depuis deux décennies successives des niveaux bas quand ce n’est pas une totale absence par endroits du pays, comme c’est le cas dans l’Ouest. Et si jusqu’à présent des projets de grande envergure ont été réalisés, cela n’a pas pour autant réglé le problème. Et pour preuve, 57 grands barrages et différents transferts en exploitation totalisent actuellement une capacité de 5,70 milliards m3 pour un volume régularisé de 2,80 milliards m3/an au moment où il faudra atteindre à l’horizon 2020 une capacité totale de 10 milliards m3. Pour ce faire, le ministère des Ressources en eau a décidé d’une nouvelle stratégique qui s’articule autour de 7 grands systèmes régionaux ainsi qu’un ensemble d’ouvrages de mobilisation et de transfert, à savoir le MAO, le SAA, le transfert Koudiat Acerdouna -Hauts Plateaux-, le transfert Taksbet-Alger, l’aménagement des hautes plaines sétifiennes, le système de Béni Haroun et en dernier l’aménagement d’El Tarf. Selon le ministère, cette approche permettra d’alimenter en eau potable une population de plus de 20 millions d’habitants à raison de 150 litres par jour et par habitant et d’irriguer une superficie agricole d’environ 300 000 hectares. Toujours d’après le maître des ouvrages (ministère des Ressources en eau), d’ici à la fin 2009, seront réceptionnés pas moins de 13 barrages, à grande capacité de retenue, dont deux avant 2006. Il faut rappeler aussi que l’approche adoptée par le ministère vise à apporter des solutions inter-régionales. On peut citer à ce titre le grand projet dénommé MAO qui a pour but de transférer les eaux de l’Oued Chellif vers le couloir Mostaganem, Arzew et Oran, soit un apport annuel de 155 millions m3, ce qui permettra à cette frange nord-ouest du pays, défavorisée sur le plan pluviométrique, un meilleur approvisionnement de l’alimentation en eau potable (AEP). Et comme le soulignent les responsables du secteur à chaque occasion, «les sept projets structurants de l’Agence nationale des barrages et transferts [ANBT], qui couvrent tout le nord du pays -d’est en ouest- permettront de lever, enfin, l’hypothèque sur l’alimentation en eau de régions où se concentre l’essentiel des ressources humaines, agricoles et industrielles». Pour mener à bien sa mission, l’ANBT dispose d’une enveloppe de 345 milliards de dinars qui couvrent 125 autorisations de programme. A propos du programme, le montant des projets à lancer par le ministère entre 2005 et 2020 s’élève à 739 milliards de dinars répartis comme suit : 9 pour les études de faisabilité et le reste pour la réalisation.
Il va sans dire que tous ces projets de grande envergure vont demander un délai de réalisation. Une fois achevés, ils resteront tributaires de la clémence du ciel d’autant plus, et cela est une réalité à ne pas négliger, les besoins en eau vont augmenter rapidement d’année en année. Un paramètre qu’il va falloir surmonter en allant chercher de nouvelles sources d’approvisionnement dont on pourrait disposer par le lancement d’aménagements hydrauliques nouveaux.
En d’autres termes, les ressources en eau non conventionnelles : le dessalement de l’eau de mer et la réutilisation des eaux usées épurées. Notons que le domaine du dessalement a connu ces dernières années une avancée technologique remarquable grâce à un nouveau process, l’osmose inverse, ce qui rend le coût d’investissement et d’exploitation moins onéreux.
Un facteur qui a poussé les décideurs à opter pour cette solution. Ainsi, il a été mis en ½uvre tout un programme d’installations d’unités. En fait, ce sont 23 petites structures d’une capacité totale de 57 500 m3/jour qui ont été installées dans six wilayas (Skikda, Tizi Ouzou, Boumerdès, Tipasa et Tlemcen -Sidi Youchaa) et 5 grandes unités de dessalement d’une capacité totale de 400 000 m3/jour.
En ce qui concerne la réutilisation des eaux usées, il est question de réaliser 10 stations d’épuration d’ici à 2009 alors que 23 sont en cours de réalisation. Toujours dans ce domaine, 21 stations sont actuellement en marche mais très en deçà de leur capacité de traitement et 19 autres sont en cours de réhabilitation faute de maintenance. Selon le ministère des Ressources en eau, d’ici à 2010 le total des eaux épurées serait de l’ordre de 500 millions m3 par an. Un volume destiné en grande partie aux besoins d’irrigation et industriel. En définitive, les aménagements hydrauliques (barrages, transferts, traitements et épuration, forages) engagés auront certainement pour résultante de se libérer du spectre du manque d’eau dans le robinet des ménages. On le saura d’ici peu de temps.
Z. A.
| |
|
|
|
